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Le pardon. "par le don " ?

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 Il m'est deja arrivé de travaille sur cette notion, sur mon forum.
Vous pouvez consulter, ces propos, à cette adresse.

francoise.babaorum.info/t3367-Lutte-contre-la-violence-faite-aux-femmes-et-le-viol.htm

francoise.babaorum.info/t1948-Cultiver-le-feminisme-car-sans-entretine-il-deperrit.htm

francoise.babaorum.info/t751-Mon-experience-a-ce-sujet.htm

 Aujurd'hui, l'équipe de toute une histoire, consacrait son émission, sur le sujet.
  Je remercie toute l'équipe d'avoir eu cette initiative.

 En effet, à un moment, où notre société été est en pleine mutation, et où pour plein de raisons,  assez diverses, les humains, sont dans la tourmente, encore plus , je pense, la façon de gérer , la souffrance qui est la notre, semble aux yeux de certains, trouver un aboutissement salutaire dans a notion du pardon, comme si, cette notion, revêtait, tous les aventages, qu'on puisse imaginer, alors, que cette notion là, en fait, ne peut être apprenhendée, de façon, relle, que par les gens qui ont effectvement, beaucoup souffert.

 loin de moi, l'ide, de vouloir refuser, à cette
notion, son aureole manifique, où la spr iritualité, et l'altruisme, parait il, lui servent d'ecrin.

La notion, un peu expéditive de Pardon, à laquelle  il n'y a que la compléxité de la Nature Humaine, qui puisse rivaliser, est une chose, je pense qui peut prendre des chemins, infiniment plus complèxe, que l'individu lambda, ne peut l'envisager, et surtout, enprunter des méandres mentaux, aussi divers, que les terrifiantes blessures, qui les ont engendrées.

 Pour "Toute une Histoire", vous pouveez la revoir ici :

toute-une-histoire.france2.fr/

 Je tiens à m'excuser du fait, que je n'ai pas noté les noms des participants.


 J'ai dit sur mon forum, que l'inceste, à mes yeux, était dix fois pire, que le viol, et je persiste, dans ma pensée. L'exemple de cette femme, là, est effectivement remarquable, et devrait être compilé, de telle sorte qu'il puisse servir d'exemple, dont des victimes, actuelles, et malheureusement, futures, pourront s'inspirer.

 Pour ce qui est ce monsieur, dont la fille, aété tuée, dans un accident de la route, j'ai été très impressionnée, par le courage, et le fait que par l'empthie, il ait ffectivement, eu le reflexe, de prendre la main, du coupable, et du bienfait, qu'il a ressenti, et qui lui restera gravé, pour sa vie entière.

 Ensuite, ce monsieur, dont la fille aété massacrée, dans le RER.....
 je suis absolument errifiée, à l'idée de resentir, ce que son entourage a resenti, les vision apocalyptiques, que leur imaginaire, ait pus donner de la scene telle que leur fille l'a vécue.

 Et je suis là encore, extrêmement impressionnée, par son attitude, encore, aujourd'hui.

Il dit que c'est pour lui, une notion qu'il aimerait parvenir à maitriser, de telle sorte que ça ne lui fasse plus mal.

 La maman, aussi, de ce jeune togolais, assassiné, pour raison purement raciale, a été absolument bouleversant.J'admire, son courage et sa dignité.

 Les temoignages que j'ai vu aujourd'hui, en fait, me conforte, parfaitement, dans les propos que j'ai deja tenus, sur le forum.

  Pour en revenir, au mot "pardon", en régle générale, j'ai deja expliqué, les raisons, pour lesquelle j'étais plutôt méfiante, vis à vis de ce mot.
 En fait, je crois qu'on ne peut appréhender cette notion, de façon sereine, que quand on a beaucoup souffert soi même.

  Mais la notion de souffrance, et donc, de pardon, ou de ce qui peut s'en rapprocher le plus, sont des concepts, qui sont aussi divers et complèxes, que peut ùl'être la nature humaine, de façon globale.

  Ainsi, je ne pense pas que l'on puisse considérer, que telle souffrance, soit assimilable, à telle autre, ainsi, que telle autre, à telle autre, c'est comme une forme de patwork gris, et sale, comparable, visuellement, au sac de charbon, que chantait Julos Beaucarne, dans cette fameuse  lettre au sujet de l'assassinant de son épouse, et dont à un moment donné, une fois le phénomène d'empathie, vraiment atteint, la lumière, passe au travers, et mange le noir, et le gris.

  Mais malgré celà, je dois reocnnaitre, quand même, qu'il existe quelques constances, qui sont absolument criantes, et qui je crois, ne peuvent absolument pas ête iées.
 
  D'une part, le fait,  que le s desir de vengeance, lui, soit une chose, compréhenssible,  m^me si c'est l'animal, qui est en nous qui s'exprime, alors, il est prudent de tout faire, pour que ce cap soit passé, et que ce désir de vengeance, lui ne soit pas satisfait, car nulle n'a le droit, de se subtituer à la loi.
 
   Ensuite, je crois qu'il est necessaire aussi, d'abserver, et d'accepter, de la personne, quia trop souffre  ert, s'isole, et d'en accepter la reserve. parce qu'il en est ainsi, d'un animal meutri, qu'il éprouve le vbesoin de s'isoler. là encore, il s'agit d'un reflexe animal, mais qui ne nuit absolument à personne, puisque ça n'a jamais empêché la Terre de tourner, regardez donc, tous ceux qui souffrent autour de vous, vou allumez la télé rien n'a changé, les programmes contnuent, en voulez vous, en voilà, et celui ou celle qui s'isole, alors, pour panser ses plaies, ne fait de tort à absolument personne.

 Enfin, il est bon de noter, que quelque soit le temps nécessaire, demandé pour satisfaire l'isolement en question, c'est le fait, de se tourner de nouveau, vers les autres humains, qui signe vraiment, le redemarrage, vers un cheminement, qui peut effectivement, s'apparenter, à ce que certains appellent le Pardon.

 Pour mémoire je rappelle quad même, la raison, pour laquelle ce mot, ne me plait pas trop, c'est mon ancien, psychoenergéticien, qui me l'avait expliqué, et je crois que ça doit donner à réfléchir.

 Selon lui, le pardon, vait une connotation incoonsciemment, trop relié, au sacré et au religieux, ce qui dans le non dit, evoquait, le fait, que celui pardonne, est un être sppérieur, à celui qui demande le pardon, voir, le confessionnal, à l'époque, où cette pratique, se faisait encore...
 au nom de quoi, grand Dieu, un prêtre, serait il mieux placé, pour pardonner quoi que ce soit, à un autre humain, one st en effet en droit, de se le demander.

 Je préfère, moi, plutôt, car plus modeste, "être en Paix avec"..... Le fait, de resentir, le sentiment, selon lequel on soit incapable,  de haïr, cette personne, et que le mal, qu'il nous a fait, soit devenu neutre, au fond de son coeur.
 
Une des étapes, qui est fondamentale, pour emprunter ce chemin là, est de chercher à comprendre, comment cette chose terrible, soit arrivée.  car laconnaissance est toujours l'allié, de l'humain, et l'ignorance, amis des sentiments les plus méprisables, donc, lnd e la sérénité.

 Pour moi, c'est vers ce sentiment, qu'il faut tendre.

 Ensuite, quand on y parvient, l'aventage que l'on peut en tirer, est considérable, car cette énergie, qui monopolisait, la souffrance en question, est ensuite disponible, pour pouvoir servir des causes, ou des actions, qui sont au service de  la communauté.

 Ce fût mon cas, à moi, pednant une époque aussi, c'est donc quelque chose que j'ai expérimenté, effectivement.


 C'est la raison, pour laquelle très souvent, après un travail de deuil, comme on l'a vu, dans cette émission, beaucoup choisissent de s'investif, dans une cause, qui ait à voir, avec l'être perdu.... comme on le voit, là, dans cette émission, au sujet de l'association, que voulait créer son fils,  avant qu'il ne soit tué.

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Version imprimable | Actualités | Le Jeudi 13/12/2012 | 0 commentaires



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