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Un des combats, que je ménerai.

C'est comme ça, que voulez vous. Moi, je ne veux pas, je ne peux pas, rester, les bras balants, à ne rien faire, si je sais que je peux, moi, defendre une cause qui m'est chère.

 Voici un lien, qui vous donne l' indice...

www.desrondsdanslo.com/EnChemin.html



  Alors, voilà. Voilà ce sur quoi je m' appuie, moi, Françoise, pour vous parler de ce sujet...

 Bien sûr, pour ceux qui connaissent mon histoire, ne serait ce qu' un peu, ils savent... Pour les autres, peut être pas.

 Voici quelques liens, qui vous l'expliqueront.

chez-salpiglossis.viabloga.com/cgi-bin/text.pl

Alors voilà... Parce qu'il faut crier. Crier, en effet, car il faut que les gens sachent. Non pas que ça me soit arrivé à moi, en particulier. Mais que devant leurs télés, aujourd'hui, en France, pays démocratique, par excellence, il y a un certain pourcentage de gens, d'hommes, surtout, en majorité, qui un jour, ont été les bourreaux de femmes, en les violantant, ou en les violant, bourreaux d'enfants, en les frappant, impunément, en les considerant comme des friandises sexuelles... Certains hommes, oui, ont un jour de leur vie, pour certains, c'est même un comportement normal, nié l'existance de ces êtres qui pourtant, devraient leur être chers...  dont ils peuvent disposer, à loisir, comme s'il c'eut agi d'un simple objet, voir d'un objet sexuel... 

 Car la force physique, elle, se trouve du côté des hommes, c'est physiologique, voilà, c'est comme ça, on n'y peut rien.

   Et pourquoi, moi, j'ouvrirai plus ma grande gueule, plus  que quelqu'un d'autre  ? sur le sujet , et bien parce que je suis une survivante.
 Je dis bien "survivante"....

 Comme son nom l'indique, une survivante, c'est une femme, ou une personne, qui a ressucité après sa propre mort... On m'a assassinée, quand j'étais une petite fille, et j'ai réussi à renaître...

 Pour ceux qui s'intéressent au sujet, vous aurez prochainement l'occasion de prendre connaisance de la façon dont une chose, aussi merveilleuse, a pu se produire. Mais chaque chose en son temps....

Aujourd'hui, si j'écris ces lignes, c'est pour crier simplement que le fait de crier, sera pour moi, dans l'avenir, un acte qui sera une seconde nature... Mais ne soyez pas inquiet. Ce ne sera pas un cri de douleur...Au pire, peut être, quelquefois, un cri de colère, comme il m'arrive si rarement, à moi, d'en pousser.

 Petite parenthèse....

 Quand j'étais jeune femme, déjà, j'étais un peu soupe au lait. Qu'un mec me sorte par les yeux, et je montais au creneau, aussi sûrement que le lait qui deborde de la casserole...
 Ma soeur ainée, elle, était amoureuse d'un homme... Un homme que je ne sentais pas. Les ondes étaient ô combien négatives... Et Dieu sait à quel point je suis douée, pour ce genre de chose... Et je me suis tue. Grossière erreur. Car mes sensations étaient justes.

 Nous avons su, bien des années après, une fois épousée ma soeur, à quel point cet être là était malfaisant. Au point qu'il se revela être un des sangliers que mon entourage ait connu...

 Mais alors que je n'en étais qu'à la perception de ces ondes négatives, ce dernier, n'ayant pas réussi à me glisser dans son lit, entreprit, à chaque fois qu'il en avait l'occasion, de me provoquer, sur tous les tableaux. J'étais une jeune femme fougueuse, déjà, sûre de moi. En tout cas, autant que peut l'être une femme de cet age, alors qu'un autre sanglier, lui, faisait son nid, au plus profond de mon coeur, depuis l'age de mes 8 ou 9 ans....

 Et je demarrais, moi, au quart de tour, vraiment. Et je me mettais, moi, dans des etats colériques invraisemblables... Au point que pour defendre mes positions, la colère m'emportait, et mon adversaire, alors, parvenait à saisir le moindre fil qui mettait en évidence LA petite contradiction, qui lui donnait alors les faveurs de la conversation. Et tous les sujets étaient bons, vraiment...

 S'il c'eût agi d'un être "respectable", avec de vraies valeurs, je suis certaine, d'une part, que mes colères n'auraient jamais eu lieu d'être. Ou si elles avaient réellement existé, elles auraient été constructives, voire, m'auraient, peut être, révélé des choses, sur moi même, ou auraient fait progresser le débat, comme toute conversation peut le faire, en général...

 Mais non. A chaque fois, c'était stérile, et je n'étais, alors, que le jouet d'une joute verbale, qui me menait à rien d'autre qu'un gros connard, qui lui, avait le sentiment de clouer le bec à la petite femme que j'étais.



 Puis au bout, peut être, de quelques envolées colériques, ainsi, j'ai réfléchi au problème... à ma colère, pour être précise....


 Et plus jamais, depuis, je n'ai rencontré ce genre de problème... J'excècre la colère. Vraiment. Précisement parce que  dans un tel etat, on ne contrôle plus rien. Ca deborde de mots, qui partent en tout sens, et bien souvent, depassent la pensée... Et ça fait des dégats bien pire que ce que l'on voulait.

 Je précise, cependant, qu'une fois, une seule, j'ai eu l'occasion d'apercevoir cet homme là, dans un marché des jardiniers. Je suis formelle, c'était lui. Quand il m'a apperçue, il s'est sauvé !

 alors, nous en étions restés aux cris !

  Et bien ce sera l'objet d'un prochain billet.

Version imprimable | Actualités | Le Samedi 19/02/2011 | 0 commentaires



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