Françoise Niel Aubin.

 Bon, sur le pont, c'est vrai, je dois bien l'admettre, il y avait Thomas, qui dansait la st jeannaise. Alors, bien sûr, je n'ai pas résisté, et je suis allée guincher avec lui !

 Sinon, et bien, ces temps ci, le forum des Françoises accapare toute mon energie ! Et je fais donc des infidélités ici, à mes chers lecteurs !

 Mais enfin, ne vous inquietez pas... Je vais de temps en temps, un peu comme une forme de récréation, venir deposer quelques oeufs ici. Et ça tombe bien, c'est demain Pâques !

 Tiens, au fait, Thomas m'a fait un joli cadeau, pour pâques. Si si si, je vous jure. Je lui ai demandé de faire un petit effort, pour m'inviter, quand même, merde alors. Quand je pense à la chance qu'il a d'avoir une muse aussi extraordinaire que moi, quand même, faut pas deconner, non plus....

 Une fois envoyé le mail, un jour de cette semaine, je recevais dans l'après midi, un message pour décrocher deux invit'. Bon, bien sûr, ça n'était pas que pour moi. Mais j'ai reçu confirmation, l' après midi ! et zou, les zouzou, je vais voir ma girafffule ce soir. Nanana nèreeeeee. Et puis pas vous !
 
  Et pour dormir, j'ai un ange gardien qui m'heberge. Heureusement, parce que vu l'etat de mes finances, n'est ce pas. J'essaie de vendre des estampes, en porte à porte, mais rien à faire, ça ne marche pas. ça fait deux après midi, que j'ecumes les restos de ma région, cet après midi, et rien à faire. La prochaine fois, ce sera sur la côte, et je partirai pour la journée entière.

 Alors, à Nantes, bien sûr, je pensais à Jeanne Cherhal, qui est originaire de là bas.
  J'avais pris mon APN, pour prendre tout ce que je n'ai pas moi, dans ma région, et ce fût fabuleux. Bon, il est vrai que considerant le fait que je ne sorte jamais de mon trou, un rien m'épate.

 voilà les photos.



 Bon, inutile de préciser que des montagnes comme ça, de crustacés, peut être à Dieppe, je ne sais pas, il parait que non, d'après mon cousin, mais là bas, c'est normal. Jamais vu tant de homards vivants en une seule fois !






 Les anguilles et bien là, c'est simple, entendu parler, jamais vues encore.  J'ai "taquiné la truite", quand j'étais enfant (voir "l'enfant sorcière", de Thomas). J'avais envie d'en acheter pour goûter, car je n'en ai jamais mangées... Mais j'avais pas de sous. Mon cousin, qui lui enfant vivait dans cette région, déja, et me racontait qu'enfant il allait pêcher, avec son grand père, sur un bateau, sur la Loire. Le midi, il mangeait des anguilles, à la poêle, et les tronçons d'anguille, très nerveux, sautaient dans la gamelle, et le grand père était obligé de poser un bon couvercle dessus, pour ne pas que les tronçons d'anguille se sauvent... !





 Bon, là pour être franche, c'est plus le côté esthétique, en fait, qui m'interpelle, plutôt que l'envie d'en manger. Moi, côté patisserie, je suis plutôt portée sur les éclairs café ou chocolat ou grillé aux pommes.  Mais pour le coup d'oeil, bien sûr....





 Alors, là, pareil.... Jamais vu ça. Sur les forums d'aviculture, que je fréquentais, à une époque, je lisais beaucoup autour des oeufs de cailles, oui, bien sûr, recherchés en patisserie, particulièrement, car ils ne contiennent que du jaune, et pas de blanc. De plus, la manbrane intérieure est antiallergique. Utilisée en médecine douce (par mon magnétiseur).... Mais les oeufs de perdrix, alors là....



 Alors, ça j'ai adoré.
Ce sont de simples bouquets de pomponettes, comme la chatte dans "la femme du boulanger", de Pagnol.
  En fait, c'est une amélioration de notre paquerette des champs.
 
   Quand j'aurai de nouveau un jardin, j'en cultiverai, car la paquerette, comme la primevère, est une fleur hautement symbolique, pour tous les enfants qui ont vecu très jeunes dans les campagnes. Qui n'a pas fait son petit collier de paquerettes, étant enfant ? Même si la queue est trop courte, à chaque fois, pour en faire un bouquet.

 Enfin, voilà. C'est un week end qui m'a fait beaucoup de bien, pour m'avoir sorti un peu de ma tannière, à moi, où je suis un peu coincée, entre mon ordinateur, et le monde réel, pas toujours très tendre, autour de moi, face à la femme que je suis maintenant. Aussi, il me tarde, à moi, de fréquenter des gens un peu plus tolérants et aimant, face à la femme que je suis devenue.