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Lettre ouverte aux anti avortement.

parc que l'avortement est un droit fondamental, droit que certains pays actuellement aujourd'hui, voudraient revoir mis en question.

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 Les choses sont ainsi faites, que certains humains, considérent qu'il est oportun, de donner son avis, que dis je agir par la force, pour empêcher certaines femmes, de disposer leur corps.

 De tout temps, depuis que l'homme existe, pour que l'espèce humaine perdure, notre instinct animal, nous a fait nous reproduire, ce que nous, les humains, appelons, dans le meilleur des cas, "faire l'Amour", et dans le pire "se faire violer".

 Dans un cas comme dans l'autre, je resultat en est, je vous le rappelle, qu'un penis en erection, va ejaculer, et donner des psermatzoïdes, qui vont feconder l'ovule.

 J'espère ne choquer personne, par mes propos anatomiques, mais un chat etant un chat, je trouve coherant, d'en parler ainsi.

 Ce qui differencie l'homme de l'animal, c'est le fait qu'il soit doué d'intelligence. Soit. Bien qu'ayant parfaitement conscience, que cette intelligence là, elle, ne soit pas forcement une réussite, par certains aspects, j'ai la naïveté de croire, moi, que pour certaines raisons, ce soit plutôt un bienfait.
  J'en tiens pour preuve, la production artistique, que l'homme depuis des millémanaires, a su montrer, preuves que l'on peut voir, encore, aujourd'hui, dans la grotte de Lascaux, ou sur l'île de Pâques.
 
  Si on observe, aussi, l'être humain, on peut considérer qu'etant un être grégaire, il est capable d'une vie sociale, et la recherche, même, pour diverses raisons.

 Dans ses comportements, entre autre, on peut distinguer, notament, une propention assez courante, à veiller sur son prochain, mettant ainsi en exergue, la théorie selon laquelle il ne faut jamais faire à autrui, ce qu'on aimerait pas qu'on vous fasse.

 Vous pensez peut être, que je parle là de choses qui sont bien loin du problème évoqué dans le titre, c'est une grossière erreur d'appréciation de votre part, je puis vous l'assurer.
 
Car en effet, quoi de plus logique, quand on vit dans un pays, au sein d'une communauté, quelle qu'elle soit, que d'être bien intentionné, vis à vis de son prochain.

 Certains, relativement à ces valeurs humanistes, eteillent leur valeurs, par la pratique de certaines religions.

 Loin de moi, de vouloir discréditer, en quelque sorte, le fait de croire en Dieu, quelque soit le nom qu'on lui donne.
 
Mais il est regrettable, à mes yeux, que le fait de croire en Dieu, serve de pretexte, au fait de soutenir des théories, pour le moins contestables, quand on parle, j'ose l'espérer, d'aimer son prochain.
 
 Quand on entend des discours antiavortement, on entend dire que la Vie est sacrée. Soit, je peux comprendre celà.
 
 Mais ce qui est sacré, n'est à mes yeux, absolument pas l'étincelle, qui est à l'origine de la vie, mais la Vie toute entière, avec ses joies, ses peines, ses soucis, et ses bonheurs.

 Quand une femme, se retrouve enceinte, et qu'elle désire avorter, vous devez bien avoir conscience, que ça nest absolument jamais, de gaité de coeur, qu'elle le fait.
 Et vouloir condamner moralement l'avortement, et ceux qui le pratique, fait preuve d'un obscurantisme, qui pour le coup, ferait effectivement douter, du bienfait, de l'intelligence.

 Car prendre une position aussi absolue, contre, l'avortement, signifie, à la base, que vous faite abstraction la plus totale, du ressenti de la mère.
 vous n'avez d'yeux, que pour une toute petite chose, grosse comme une bille, qui n'est à mes yeux, pas encore un bébé, quoi que vous en disiez, dans le ventre d'une femme, qui elle, est désespérée, à l'idée de devoir mettre au monde un enfant, dont elle sait pertinament qu'il sera une source de souffrance, pour elle, et pour lui, parce que les raisons qui génerent sa décisions, sont des problèmes extrêmement graves...
 
 La tolatlité de ces problèmes là, à vos yeux, n'a rigoureusement aucune importance, et aucun poids, et c'est bien là que réside la totalité de la problèmatique.

 Un medecin, qui pratique l'avortement, est un medecin, qui par cet acte, "délivre" la femme, ne vous en deplaise. Et s'il le pratique, lui, ça n'est pas de gaité de coeur.
Aider une femme à avorter, si c'est son désir à elle, et uniquement si c'est le cas, est un acte de compassion, un acte d'Amour, le plus noble qu'on puisse imaginer.
 Je precise bien que je considère pas celà, ce pendant comme une chose anodine pour autant.
 Je suis, moi, pour une prévention décuplée, de l'éducation sexuelle, dans les collèges, et les lycées.
 Etant, uen ancinne traumatisée sexuelle, je suis, moi, pour une certaine moralisation, du comportement sexuel, et je revendique, à ce sujet,  des prises de position, qui ne sont  pas celles revendiquées, "anannement", par le Pape, par exemple.
 
 Defendre la famille, par exemple, en occultant le plus simplement du monde, que cette dernière, aujourd'hui, soit bien plus diversifiée qu'auparavent, par la multiplication des familles monoparentales, homosexuelles, ou issues de remariages.

 Nier ces évidences là, de la part du Pape, relève pour moi, d'un archaisme d'un autre temps, qui fait que le clivage, entre la papauté, et les croyants, devient de plus en plus inquietant.

 Si vous considérez vous, que c'est un sacrilège, que pratiquer un avortement, ayez donc l'intelligence, avant celà, de considérer la Vie de la mère, avant de voir, celle de l'enfant, qui n'est pas plus gros, d'un crachat, dans un mouchoir.

 Pour mémoire,  je vous rappelle les differentes raisons, qui sont susceptibles, d'amener  une femme  à souhaiter avorter.

 Absence totale ou partielle d'instinct maternel (tout le monde n'a pas la chance d'avoir été aimée, par une maman).
 Detresse morale, psychologique, materielle et financière,  certaines formes de detresse, etant plus ou moins présente, selon les femmes.
 Absence d'un papa, qui assume l'arrivée et l'éducation du bébé à naître.

 Vous qui avez la pretention, de donner des leçons de morale, sur le sujet, j'aimerai bien que vous vous posiez, certaines questions fondamentales.

 Avez vous deja imaginé un jour, que vous puissiez vous, vous trouver dans un etat pareil, avec une detresse equivalente, et dans ce cas trouveriez vous normal, que ce soit une institution religieuse, ou morale, ou votre mari, ou compagnon,  qui décide à votre place, du devenir de votre grossesse ?

 Si vous avez des enfants, imaginez que ça arrive à l'une de vos filles... Elle desire avorter, vous êtes contre.
 Oseriez vous, alors, la forcer à ne pas avorter ? et jusqu'où seriez prêts à aller pour l'en empêcher ?
 Avez vous songé, aussi, aux répercussions, sur vos relations méres filles ?

 Enfin, si comme la religion cherche à le faire, vous pensez sincèrement que votre demarche est emprunte d'Amour, envers votre prochain, créez donc des associations bénévoles, qui se donnent pour mission, de venir en aide, aux jeunes mamans, qui elles, au départ, désirent réellement garder leur enfant, quelqu'un soit les conséquences financières.

 Ces jeunes femmes là existent. Elles sont dans une situation difficile, socialement, Quelquefois rejettées par leurs familles.
 Nous avons ici, en Normandie, une association qui s'appeplle "Oeuvre Normande des Mères", qui va en ce sens.
 Les jeunes mamans, elles, sont soutenues, par une équipe pédagogique, et une formation professionnelle leur est proposée.
 L'avortement est une chose qui n'est pas souhaitable, mais je trouve qu'il va complètement à l'encontre de l'épanouissement personnel de la femme, que de le condamner.
 
 
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Version imprimable | Actualités | Le Mardi 10/04/2012 | 1 commentaire


Commentaires

Lien croisé

Le Forum de Thomas Fersen, et Françoise Niel Aubin . :: Lettre ouverte, aux ant : "http://chez-salpiglossis.viabloga.com/news/lettre-ouverte-aux-anti-avorteme…_________________"Je m'appelle Françoise", c'est comme ça dans ma vie, quand on me dit "framboise" je m'en vais je m'enfuis, je m'en vais je m'enfuis"."

 


Anonyme | Le Jeudi 31/05/2012 à 21:38 | [^] | Répondre

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