Je trouve que la méthode manuscrite, là, sera plus efficace. j'écris, puis je scanne.
Pour les chanteurs qui passent par là. Inutile de dire à quel point, moi, je serai, dans l'avenir pour le moins quelque peu "pointilleuse", sur le fait que vous lisiez votre courrier, ça va sans dire. A bon entendeur...
PS, je suis désolée pour les "fôtes", dans mon elan, j'ai carrement oublié de me relire.
Lettre ouverte à une imbécile.C'était au debut de "notre histoire". J'avais, "malheureusement", comme à chaque fois que je le faisais, raconté que je lui écrivais, à lui....Commentaires← Re:
Bonsoir,
Claire | Le Dimanche 13/03/2011 à 22:37 | | Répondre ← Re:
J'ai caché le nom, pour qu'il ne soit pas divulgué ici. Il s'agit de quelqu'un de très proche, par alliance.
salpiglossis | Le Dimanche 13/03/2011 à 22:52 | | Répondre ← Re:Je te remercie, Bénédict. C'est agréable de lire sur le fait d'écrire.
salpiglossis | Le Dimanche 13/03/2011 à 22:49 | | Répondre |
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Quand le besoin est lourd, impératif de dire
Souvent une feuille pliée en long,
selon je sens, un sens.
Vertical, épuré,sobre,
contraint à l'austérité.
Horizontal, bras ouverts, folâtre.
Léger comme une plume.
Souvent un crayon, neuf,
pointu, pas mordillé, brillant.
Mais pas toujours.
"Quand la nuit se fond dans le jour,
Que l'été héberge l'hiver,
Je suis.
Reste et demeure.
Dans l'indécision.
Le plaisir se partage,
acide et amer,
suave et sucré.
Seul et plein de bruits,
nombreux et si paisible.
Tout prend un autre sens,
le regard se tait,
le bruit parle,
nous raconte,
les gouttes de pluie,
les chenaux qui gargouillent,
on aimerait qu'ils feulent.
Les après gouttes, qui tombent,
de plus en plus grosses,
de feuilles en feuilles,
de caresse en caresse.
On sent l'eau sous les roues,
goût de poussière, de terre.
On entend aussi l'écho de la vie qui, discrète,
sort aussi profiter du répit.
Trêve provisoire.
Quoi que vous en pensiez,
c'est une plume d'acier qui court sur le papier.
Longtemps délaissée, mais si douce à manier.
Lourde et rassurante.
Pas d'archéologie, l'engin est moderne et désuet.
Une cartouche d'encre, petit cylindre sombre,
m'a donné envie de le sortir de son rêve.
Il connaît mieux les lettres que moi,
sais que leur nombre est infini,
se laisse aller, vif et moqueur.
Il devine mes manies,mes clins d'œil,
les lettres que je déteste,
celles que j'orne ou détourne.
Il connaît mes humeurs ,
se fait floral ou rageur,
caresse ou griffe.
Nous avons plaisir à communiquer,correspondre,
mais souvent nous avons perdu le plaisir d'écrire,
la joie du mot qui sonne juste.
pour nous, tout d'abord,
pour les autres et le partage,
nous sommes par et comment nous le disons.
Ouvrir ce stylo est comme ouvrir la boîte de Pandore,
heureusement, toutes les pestes n'y sont pas réunies.
Je ne vais pas le ranger trop loin,,
vous vous en doutez,
mes petits mots sont le plus souvent écrits sur un coin de table ou de bureau...
.avec ce que j'ai sous la main.
Autant que ce soit un objet qui m'aime.
En fait il a la couleur et le nom de ma dernière moto,
Céladon métallisé de chez H. D. by Watermec."
Amitiés,
Oiseau de Plume.
Benedict | Le Dimanche 13/03/2011 à 20:30 | | Répondre