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Juste pour le plaisir.

oui oui... parce que il n'y a pas de raison, hein... C'est pas parce que je ne sais pas trop à quelle sauce je vais être mangée, les semaines, les mois et années à venir, que je dois perdre mon optimisme, d'une part, et ma raison d'être.... LE PLAISIR !

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 il y a quelques jours, sur le net, je recherchais différentes façons de promouvoir ce que j'écris, et ce que je peins.
 Je chaerchais un concours de poésie.
 et voilà ce que j'ai trouvé :www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Concours-d-art-postal-la-marche-a-suivre-_14243-avd-20100129-57574429_actuLocale.Htm

 Malgré le fait que j'ai bien lu le reglement, je restais un peu dans le vague: "Comment ça ? "Art postal"..... Et depuis quand, quand on écrit, on prend soin de l'apparence de l'enveloppe, et de l'apparence d'écriture, ou du papier ?
 Alors, ils m'ont répondu, donné des indices, pour que je saisisse un peu mieux de quoi il s'agissait. Alors, voilà des exemples...

 

  

 En fait, ce que je trouve assez marrant, c'est le côté un peu "patchwork", ou craftbooking"...  Le thème pour ce concours est le suivant.... "une rencontre extraordinaire…"
 
  Alors, je me suis mise à la recherche du texte que j'allais exploiter, pour le faire. J'ai opté pour "la rapine", dont le texte suit:


La rapine

Chacun, quand il est petit apprend tout doucement ce qu'a été et sera la vie.

J'étais petite fille, juste devant la maison.
Une lapine "croisée clapier", y avait fait son nid.
C'était, je me souviens, tout au bord de la mare.
La maison était distante, d'au moins une centaine de mètres.
Cette lapine était noire et blanche, d'aussi loin que je me souvienne.
Je l'observais à distance, probablement couchée sur l'herbe,
Comme un petit oiseau veut apprendre la vie.
Alors que je la voyais partie vaquer à ses occupations,
Il me prit soudain l'envie d'y plonger ma menotte.
J'enfonçais bien le bras, par le grand trou béant,
Qui faisait à la "rapine", une jolie maison.
Mon intrépidité n'avais d'égale que ma curiosité.
Elle partie, c'était sûr, j'allais enfin savoir, ce qu'il en était.
Quand soudain quelqu'un me mordit le bout du doigt,
Me faisant faire un bon et me vexa fortement.
Je courrais de toutes mes jambes, vers la maison et ma maman,
en lui expliquant fortement "la rapine , la rapine la rapine la rapine".
Car comme chacun sait, bien sûr.
Le rapin a pour femme, la rapine, et leurs petits sont des rapereaux.
Ce souvenir me fait marrer à chaque fois que j'y pense.
La trouille que cette "rapine" m'avait faite était telle,
Que je m'en souviens encore.
Imaginez donc quel culot j'avais, moi, à quelques années, de braver ainsi les interdits.



 
 J'utilise pour ça un format de papier à lettre classique. Il se trouve que j'ai un bloc de papier aquarelle, de belle qualité, dont je ne me sers jamais, alors, c'est l'occasion. Je me demandais, hier, en le réailisant, combien de place il me faudrait, pour incorposer tout le texte... Puis un recto verso aura suffi. Le texe, comme d'habitude, n'est pour l'instant écrit que au crayon noir. En fait, je le fais un peu dans la même  mise en page que "la tombe", ou "lever d'artiste". Puis ensuite, avant l'écriture définitive, je peins un paysage, derrière, avec des collines, et puis ma traditionnelle "petite église".
 
   Le monsieur qui me fait mes reproductions l'autre jour, me disait que c'était un style très rural.... Evidemment, lui il y est sensible, car c'est un citadin !

 Enfin, voilà. Par contre c'est la première fois que je fais un recto verso.... ! Alors, impossible de peindre les deux côté en même temps... Enfin, oui, c'est vachement amusant à peindre. Il y a un côté un peu "magasin de poupée", très atendrissant.

 Et puis au fait, je ne vous ai pas raconté.
Je suis en train de rechercher plusieurs artistes, aquarellistes, dans ma région, pour exposer avec moi, au Colombier, à Pavilly, cet automne. Et à ce titre, le monsieur qui reproduit mes calligrammes m'a transmis des contacts, de gens qui pourraient correspondre.

   Sans avoir réussi encore, à trouver d'autres personnes, j'ai quand même eu un contact, très important à mes yeux, artistiquement... Car c'est un aquarelliste de la région de Rouen, très renommé, il enseigne aussi.
 Voilà ce qu'il peint.

www.andre-le-noir.com/fr_galerie.html

 Vous avez vu ? comme c'est génial ?... Moi, du figuratif comme ça, c'est tous les jours, hein....

 Enfin, bref. Je lui ai envoyé un message "bien ficellé", comme j'en ai le secret. Et ça a marché ! Il m'a envoyé une invit' pour son vernissage, le 26, et a emis le désir de faire plus ample connaissance.....  J'en suis absolument enchantée !
 En fait, pour moi, c'est hyper important. Car  tous les gens que je contacte, et qui eux, sont plus "quotés" que moi, bien sûr, même s'ils n'ont aucun à proris sur moi, ou sur ce que je peins, n'ont aucune raison particulière de vouloir venir voir de mon côté. Et lui a cette curiosoté là, quoi.  Donc, je suis aux anges. Et puis un 26, bien sûr, ça ne se refuse pas. (oui, parce que figurez vous que moi, el 26, c'est le vingt six, quoi.... LE VINGT SIX, je vous dis.... et puis le quatre. oui oui,  le QUATRE. Et puis aussi il faut bien sûr preciser que six moins deux font......
 La numerologie..... Et bien oui, j'y crois..... 

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Version imprimable | Actualités | Le Mardi 16/02/2010 | 2 commentaires


Commentaires

C'est super ce qu'il fait André. Le premier Honfleur est sublime, j'adore les couleurs.


Il a beaucoup voyagé. Ca va te faire un sacré coup de pub si tu arrives un jour à exposer à ses côtés. Et puis vous ne faites pas du tout la même chose, il n'y aura donc pas de concurrence entre vous.

 


Claire | Le Mercredi 17/02/2010 à 21:53 | [^] | Répondre

Re:

salpiglossis Oui oui, tu as tout àa fait raison. c'est une chance incroyable que j'ai réussi à retenir son attention. puis ça n'est pas mon baratin, hein. ça ne eput être que mon message, et puis peut être aussi le monsieur qui m'a menée vers lui, je ne serai pas etonnée.

 Tu sais ce que m'a dit ce dernier ? Il m'a dit que dans la réussite artistique, 80% etait dû uniquement à la communication.... C'est incroyable, hein. Mais ça ne m'etonne pas. Car à bien y regarder, quand tu es "bien dans tes baskets", et que tu es sincère dans ta demarche, il se passe forcement quelquechose, en fait... Imagine un peintre qui aurait du talent, mais qui fasse la gueule, tout le temps... Ca n'irai pas, forcement. Mais je suis bien contente, aussi, que le travail que je fais depuis 8 ans, maintenant, porte bien ses fruits.

 


salpiglossis | Le Mercredi 17/02/2010 à 22:10 | [^] | Répondre

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