Mots-clés : A comme arrosoir, immigrés.
En fait, mon exposition à Paris, elle n'ayant pas été un franc succès, je dois bien le reconnaitre, je trouve, à présent "fort avantageux" de revenir exposer dans les petits villages. Soit, je sais pertinament que je vais, probablement ne rien vendre... J'ai l'habitude. Je m'accroche, moi, comme une véritable malade, au plaisir et à l'excitation ressentie, quand moi, Françoise Niel Aubin, artiste peintre, j'enclanche la première, face à mon papier aquarelle. Et là, mes amis, comme quand j'écris une chanson c'est littéralement "the" bonheur. Mais à un point "bordel de merde", que vous ne pouvez même pas imaginer.... Je m'envole, je suis sur un petit balai, comme une sorcère, mon jardin montre des ronces, et des fruits qui sont aigres, je le tâte et lui annonce, que j'le trouve un peu maigre.... ha ha ha ha ha.......
Mais enfin, qu'est ce qui m'arrive, là.... Mais mon Dieu, qu'est ce qui m'arrive.... Je suis possèdée par le demon fersenophile, ce doit être ça.... il est un peu sorcier, thomas, je trouve, tout compte fait, à bien y reflechir.
Oui, enfin, je ne touche plus terre, en pareils moment, il faut bien le reconnaitre.
Alors, là dans ce village, particulièrement, c'est pour moi, l'occasion de revoir les copains, et copines, à qui je donne des nouvelles, par mail, en envois groupés.... Mais qui eux, ne me répondent pas. Puis voir les copains "pour de vrai", c'est quand même chouette. Et puis, il faut bien dire qu'avec tout ce qui m'a complètement tracassée, depuis plusieurs semaines, un peu de bon temps, ça ne peut pas me nuire.
Alors, là, j'ai accroché ce matin. J'ai mangé ensuite, avec ma petite amman.... Là, je vous parle. Ensuite, je fais une sieste fersenique, puis j'y retourne "glonflée à bloc". Car c'est pas tout, ça.... Mais je vais essayer de gagner un peu de sous.
Pour ceux qui s'intéressent au texte, il est le suivant:
Les arrosoirs en plastique sont au jardin ce que sont les immigrés dans les pays civilisés. On utilise les premiers pour arroser au jardin, puis on les range dans la remise, comme on range les immigrés dans les banlieues sordides, ou les chambres de bonne.
Françoise Niel Aubin.
je precise, "texte promis à un grand avenir"....
Mots-clés : A comme arrosoir, immigrés.
J'expose !.... En campagne, cette fois ci.Et bien, oui, j'expose. Ca se passe à Mesnil Panneville, dans le petit village où j'ai élevé nos trois filles, pendant 30 ans.Commentaires← Re:Bonjour, Patelle. Je suis contente de te lire.
salpiglossis | Le Vendredi 25/03/2011 à 21:58 | | Répondre ← Re:Merci, Celestine. Tu n'es plus inquiete, j'espère.
salpiglossis | Le Samedi 26/03/2011 à 06:00 | | Répondre ← Re:A toi aussi, bon dimanche. Je retourne à mon expo, là dans le petit village qui m'a adoptée, il y a 21 ans de celà. J'y ai retrouvé de amies, hier et ça m'a fait du bien.
salpiglossis | Le Samedi 26/03/2011 à 10:32 | | Répondre |
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J'aime beaucoup ce calligramme. Les couleurs, les formes, les mots...
Et je suis contente que tu aies trouvé un endroit où exposer.
Il faut se faire connaître ! Et après, ça viendra.
Pastelle | Le Vendredi 25/03/2011 à 21:28 | | Répondre