Françoise Niel Aubin.

Mots-clés : contre le téléchargement.


www.pcinpact.com/news/70168-hadopi-ump-ps-touspourlamusique-presidentielle.htm

Bon, au sujet de l'article, sur l'industrie du disque, et la positionnement des différents partis.
On reproche à la loi hadopi, d'être incomplète, de n'être que répressive, et pas préventive.

On dit que les enseignants, ne sont pas formés à celà, ou qu'ils n'assurent pas la prévention.

Mais comme dans tout comportement éducatif, il serait peut être souhaitable, de remettre les parents, comme responsables, de l'éducation de leurs enfants.

Comme pour toute règle nécessaire, pour l'éducation, la condamnation du téléchargement, doit être une notion qui soit expliquée, autant aux parents, qu'aux enfants.
En fait, je crois qu"une brochure, devrait peut être être diffusée, par le biais des Mairies.(je crois que la carte, dont ils parlent avait déjà été faite, par ce biais là), mais une carte, n'explique pas. Alors qu'une brochure, si.

Il serait possible, aussi, de faire une sensibilisation, en passant par les animateurs, qui coordonnent les activités sportives, et culturelles. Cours de danse (on utilise de la musique), et pourquoi pas les animateurs sportifs ?

En fait, se reposer sur les éducateur associatifs, au sens large, constitue pour moi, j'en suis persuadée, le meilleurs moyen, de toucher la cible.
Parce que un jeune, même s'il est en échec scolaire, va au minimum fréquenter, en général, au moins une association, ou une "maison pour tous", ou "la Croix Rouge".

Je pense, moi, qu'il faut aider les intervenants des ados, tous confondus, à prendre conscience, que la musique, est un bien culturel très précieux, mais que ce bien culturel, est une source d’épanouissement, pour le jeune, qui va bien au delà, que d'aller se saouler la gueule, le samedi soir en boite (excusez moi, pour le côté réaliste du portrait que je tire du jeune en question).

 On pourrait aussi, distribuer des tracts, sur le sujet, dans les boites de nuit, ou à l'entrée des concerts, ou à l'entrée de tous les spectacles viviants.

Mais celà implique, effectivement, que les responsables d'associations, professeurs, intervenants, quand ils sont habilités à exercer, reçoivent eux, à la base, la formation nécessaire, pour pouvoir transmettre le message.
  Pour celà, en fait, il est necessaire, que les institutions elles, à la base, jettent sur le monde associatif, un regard qui va un peu au delà, de la simple activité, qui va occuper le jeune ou l'ado, pendant une heure ou deux.

Mots-clés : contre le téléchargement.