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Et si on parlait de Noël ?

Bon, je sais bien, ça fait peut être un peu rabat joie... Nous dirons que c'est le marronnier du moment.

   Mais vu sous l'angle bien particulier d'un blog, et pas seulement du mien, ça peut prendre une tournure assez humoristique, décalée, voir folklorique, que sais je... Inusitée, en tout cas.

   Pour ma part, je suis pensive, là, à quelques jours de Noël... Non pas que je sois inquiete, parce que c'est Noël, et que bien des noëls de mon enfance, étaient loin d'être réjouissants... Et là vous vous dites: "non, elle ne va quand même pas encore nous faire le coup de Cosette", déjà ces temps ci, son enfance etc....

 Comme je vous comprends !
 Mais enfin, il serait egalement intellectuellement parfaitement malhonnête, aussi, de ma part, de vous raconter "oui  oui, mes Noël, à moi ont été tous merveilleux"... franchement, ça ne serait pas raisonnable.

 Je ne vais pas tomber, non plus, dans le misérabilisme le plus forçonné, parce que franchement, je n'en ai pas trop envie, même si dans la réalité, c'était un peu ça. Si ça vous tente, allez voir les archives de ce même blog, pour les deux années précédentes.

 Je  dirai donc, simplement, depuis 10ans, environ, que j'ai pété les plombs, je crois bien que ce sera le troisième Noël, seulement, où je me sens bien, vraiment très  bien. (je vérifie sur mes blogs précédents, pour voir).

 Je confirme. Bien sûr, le fait que nos trois filles soient grandes, à présent, fait que les "simulâcres" de père Noël, et toute sa panoplie, n'ont plus lieu d'être...

   Clémentine m'a avoué, il y a quelques années, qu'elle avait mal pris la chose, quand elle avait appris que le père Noël n'existait pas. Je ne me souviens plus, dans quelle conditions, chacune d'elle a su la vérité...

 C'est un cruel dilemne, en effet, que de savoir ce qu'il est bon de dire, ou de ne pas dire...
 
   Une maman, dont on m'a parlé, avait choisi, délibérément, de ne jamais faire croire à cette histoire à son fils... Et bien à l'école, elle avait eu des problèmes, et son fils lui même, qui lui avait demandé de "faire comme si il y croyait"....
 
  C'est curieux, car ma maman, elle aussi, avait toujours du mal, avec cette histoire. Je suppose que c'est directement lié à la notion de mensonge, dont elle a perpétuellement souffert, dans son couple, qui en est la cause... Cette haine du mensonge, qui se transmet, avec une telle force, de génération, en génération, et qui est encore si présente, au fond de moi...
 
  Mais enfin, il m'arrive d'en parler, avec ma  maman, souvent.... Car j'ai corrigé le tir, moi.

  Quand même. Je crois que chez elle, c'est lié directement au manque de confiance envers les hommes, en général. Mais comme moi, je n'ai plus ce problème là, en particulier, j'admets, moi même, que le mensonge peut être une notion acceptable, quand il est justifié, comme par exemple, etayer une cause qui est juste. C'est rare, mais ça peut se produire.

   Mais enfin, en ce qui me concerne, je ne sais pas si je saurai mentir, moi même pour défendre une cause qui soit juste, tellement cette notion m'a été inculquée, pendant toute mon enfance...

 En fait, pour les enfants, quand ils sont petits, peut être que l'idéal, ce serait de leur expliquer... Leur expliquer que les enfants, mais les parents, aussi, aiment faire croire des choses, même s'ils savent que ça n'est pas vrai, que c'est pour rire... Peut être que ce serait possible. Les enfants, alors, se prendraient au jeu, par exemple, en préparant eux même des choses à manger, par exemple, pour le père Noël.... Enfin, oui, je pense que c'est une chose tout à fait envisageable. Mais par contre, le problème de "la norme", à l'école, reste entier.
  En effet, comment faire comprendre à un enfant, que lui, est dans le secret, mais qu'il doit ne le dire à personne... C'est très delicat, quand même....

 Mais voilà que je m'imagine, là, dans ma future maison, avec mes filles, leurs copains, et copine, avec quelques enfants, en bas age.... Mais ça viendra bien un jour ! Nom d'une pipe !
Sinon, cet après midi, j'ai fait ma dernière sortie, pour acheter les derniers cadeaux...."cultura" a fait l'affaire... j'adore acheter des cadeaux. Enfin, j'adore surtout quand je suis sûre de mon coup, c'est évident. Puis j'ai beaucoup été egoïste, aussi.... Bon, je ne vous dis pas encore ce que j'ai acheté.... Mais les disques que je voulais étaient en promo ! alors, du coup, j'en ai pris plus ! et je crève d'envie de les écouter, là, maintenant ! Mais non, faut faire les paquets ! plutôt.... bon. Je m'en fous ! J'ai la place pour aller voir thomas, le premier avril.... nananèreeeee.


 Bon, allez, je ne resiste pas..... Je vous donne un indice...."ils savent faire les creneaux".... Je ramasse les copies dans un quart d'heure !

 Bon, c'est pas tout, ça, mais, moi, j'ai des chansons qui sont sur le métier, là.... J'ai du mal, bordel de merde....

Version imprimable | Actualités | Le Mardi 21/12/2010 | 8 commentaires


Commentaires

Alors là, le père noël sur la cheminée des méchants. Excellent !

Mes filles n'ont jamais cru au père noël et n'en n'ont jamais été gênées, ni par rapport à leurs camarades d'école. On leur a expliqué que la plupart des enfants croient que les cadeaux sont apportés par le Père Noël, parce que les parents trouvent que c'est une jolie histoire. Alors qu'il ne fallait pas qu'elle disent le contraire à l'école, même si elles savaient que c'était pas vrai. Que les parents avaient le droit de choisir de faire croire leurs enfants au Père Noël et qu'on n'avait pas le droit d'aller contre ce choix en disant la vérité à leur enfant. Mes filles ont toujours compris et joué le jeu sans gaffer. Elles faisaient semblant, en étant contentes de connaître la vérité, comme des grandes.

Je n'ai jamais voulu qu'elles croient au père Noël, tout simplement parce que je suis incapable de faire semblant et de mentir à mes enfants. Je sais mentir et le fait quand la situation l'exige (pour me protéger ou protéger quelqu'un d'autre, parfois, on ne peut pas faire autrement) mais avec mes enfants, je n'y arrive pas. Il y a comme un blocage. Et comme je suis très mauvaise comédienne, je n'aurais pas pu faire semblant, "et gna gna gna, le Papa Noël, il va apporter des jolis cadeaux". C'est tellement gnan gnan, je peux pas !


Ma mère un jour a essayé de leur faire croire à la petite souris des dents. Oh la rigolade ! On était en vacances chez elle. Cloé venait d'avoir 5 ans et demi et Marine 4 ans et demi. Cloé a perdu sa première dent et ma mère a proposé de la mettre sous un verre. Le lendemain, il y avait 4 euros sous le verre. Cloé, très crédule, a tout gobé. Une semaine plus tard, on était rentrés chez nous et elle nous dit "Mais quand-même, je me demande comment elle fait pour soulever le verre la petite souris". Et Marine qui s'exclame "N'importe quoi ! Parce que tu crois que c'est une petite souris qui a amené les sous". Très sûre d'elle. Jugement sans appel. Elle avait bien compris que c'était ma mère la petite souris. Cloé a eu du mal à croire que c'était vraiment ma mère mais pour Marine, ça ne faisait aucun doute.

Un an après, idem : Marine perd sa première dent alors qu'on était chez ma mère. On met la dent sous le verre et le lendemain, il y avait 2 euros sous le verre. Marine est allée voir ma mère en lui faisant remarquer que l'année précédente, Cloé avait eu non pas 2 mais 4 euros. Imaginez la tête de ma mère ! On a encore bien rigolé.


Mon père m'a raconté que lorsqu'il n'a plus cru au Père Noël, il a décidé avec sa soeur de le dire à leur mère parce qu'ils pensaient tous deux que leur mère y croyait encore. Alors, ils lui ont avoué que le Père Noël n'existait pas et ma grand-mère à pleuré.


Mon père n'a jamais voulu non plus que je crois au Père Noël.

Mais je trouve heureux que les autres parents continuent à perpétuer cette tradition parce que c'est une belle histoire et que ce serait triste un noël sans père noël, si les enfants n'y croyaient plus.



Bon, je rends ma copie blanche, j'ai complètement séché sur le sujet, je vais avoir zéro. Les créneaux ne m'évoquent que le permis de conduire (Le payes-tu à quelqu'un ? Ca métonnerait) ou un château. Là encore, je ne t'imagine pas acheter un château en cadeau de noël.


 


Claire | Le Mercredi 22/12/2010 à 16:05 | [^] | Répondre

Re:

salpiglossis  Claire, il faut que je te dise, enfin.... J'adooore te lire. Tu as un style super clair (et pour cause, je crois beaucoup à la caractérologie des prenoms)...
 et lire ton histoire, c'est absolument agréable. ta petite famille, (4 filles, un mari au foyer, pour ceux qui viennent nous lire, et qui ne sauraient pas...) et tout ce qu'y s'y passe, c'est pour moi un vrai délice... Il faut que tu le saches !

 Et pour la nouvelle année qui arrive, si tu veux bien me faire plaisir, et ça ne te coûtera pas un rond, c'est de continuer à venir me lire, aussi souvent que tu en as envie, et de surtout, y être la plus bavarde possible... ( c'est quand même super chouette, les cadeaux qui ne coûtent pas un rond, n'est ce pas....)

 Et pour le devinette, non non, je ne me suis pas acheté un chateau !

 Je donne un autre indice "femme à lunettes".... Mais il faut laisser chercher les autres, aussi !

 


salpiglossis | Le Mercredi 22/12/2010 à 16:59 | [^] | Répondre

il s'agit peut être de richard  

 


bainmouss | Le Mercredi 22/12/2010 à 17:48 | [^] | Répondre

Re:

salpiglossis ha ! c'est pas bête, ça. effectivement, ça aurait pu ! en plus j'aime aussi beaucoup Richard Gotainer, bien que je n'ai plus aucun disque de lui.. enfin, si, un 33 tours, mais je n'ai pas le truc pour les lire.
 Mais non, il ne s'agit pas de lui... Si ce n'est lui, c'est donc l'autre...

 


salpiglossis | Le Mercredi 22/12/2010 à 18:31 | [^] | Répondre

Re:

Oh mais ne t'inquiètes pas, je vais les laisser chercher parce que tes indices (ce qui serait censé en être) me perdent de plus en plus ! Sacrée Françoise !

Ne t'inquiètes pas non plus pour ce qui est de venir te lire, je passe quasiment tous les jours, quand je n'oublie pas (J'avoue que ça m'arrive).

Pour ce qui est des anegdotes avec les enfants, on est servis, comme tous parents. Ma grande a une copine depuis très longtemps. Quand elle vient passer quelques jours chez nous, elle me demande toujours de lui raconter des histoires comme celle de la souris des dents que je viens de raconter tout à l'heure. Elle rafolle de nos histoires.

Mon style est clair ? Sache que j'y ai travaillé beaucoup parce que ma tendance naturelle était de balancer toutes les idées dans un fouilli inextricable. je commençais une phrase que je rallongeais avec un "dont", ou un "que" ou un "lequel" et force virgules. Au final, il n'y avait que moi qui comprenait. C'était au lycée ça. Et un jour, un prof m'a donné un conseil. Ce prof il était très tolérant avec moi. C'est l'année où je faisais ma première seconde. Seconde que j'ai redoublée tellement je me suis acharnée à ne pas travailler (Et là, je peux vous dire que je suis très forte. Celle qui veut faire un stage de flemmardise, je peux la prendre en stage, pas de problème). En plus, j'étais amoureuse. Le travail scolaire était donc loin d'être prioritaire.

En français, on étudiait des oeuvres qui étaient loin, très très loin de mes aspirations. Je me rappelle qu'ils ont travaillé sur Le Cid de je ne sais plus qui, Racine peut-être. D'emblée, j'ai été hermétique, au point de ne même pas aller acheter le livre. Pourquoi faire ? Je ne l'aurais de toutes façons pas lu. Donc, en cours de français, je dessinais. C'était ma période abstraite, un peu style Picasso. Le prof aurait pu être furax de mon manque d'intérêt pour son cours. Mais pas du tout, il me félicitait souvent pour mes dessins. Pourquoi ? Ah, j'avais de la chance. Non seulement il était peintre en plus d'être prof. Il peignait deux choses : Venise et les femmes nues, toujours dans des tons orangés. Et puis mon père le connaissait parce que travaillant à la mairie, il organisait souvent des expositions de peinture et exposait parfois les oeuvres de ce monsieur.

Mais quand-même, en plus d'admirer mes "oeuvres" griffonées sur un coin de cahier, ce prof m'a donné un conseil, ou plutôt deux : Le premier, c'était qu'il ne faut pas rédiger dans le même langage que celui avec lequel on parle. J'étais bête à l'époque et je n'en n'avais pas conscience. Au contraire, j'essayais de rester fidèle à ma façon de parler à l'oral. Imaginez le carnage ! Le deuxième conseil et non des moindres a été de me dire de faire des phrases courtes. Plutôt que de faire des phrases à rallonges interminables avec des virgules et des conjonctions de coordination, mettre des points à la fin de chaque proposition et recommencer ensuite une nouvelle phrase. Bien sûr, ce n'est pas toujours possible et ma tendance est toujours de faire de longues tirades. Mais j'essaye de me corriger.

 


Claire | Le Mercredi 22/12/2010 à 18:36 | [^] | Répondre

Re:

salpiglossis  c'est très intéressant, ce que tu racontes là... J'aurai bien aimé avoir un prof de français aussi tolérant.
 Mais pour ce qui est des conseils qu'il t'a donné, ils me laissent sans voix. Car moi, je crois que si je suis "aussi lisible que je souhaite l'être", je crois que c'est précisement parce que j' écris comme je parle, sans la moindre fioriture... Mais enfin, c'est très difficile, d'apprécier le style de quelqu'un. J'ai une amie (Pascale), qui est instit, grande dévoreuse de livres, devant l'eternel, et elle apprécie un style au même titre que d'autres, apprécient un bon plat, par exemple. Ca me bluffe complètement quand on en parle.

 Quand je lis, moi, il est des styles, ou des auteurs qui passent mieux que d'autres, mais jamais au grand jamais, je ne me sentirai capable de commenter.... Enfin, je ne sais pas si je suis bien "claire", là, précisement. en fait, je sais. je suis aussi ignorante en littérature que je le suis dans les vins. et l'un comme l'autre, ce sont deux domaines où il serait bon que je me perfectionne un peu.

 Par exemple, ces temps derniers, je voulais lire Montaigne... On me l'avais conseillé, vu que je ne connais pas du tout. "Humaniste", soit ! Mais j'ai beaucoup de mal, et je serai bien incapable d'expliquer pourquoi. Je ne sais pas non plus, dans quelle mesure ma dysléxie, aussi, pervertit mon plaisir ou pas, à lire.

  Enfin, pour en revenir à Montaigne, c'est lui qui a  dit: "Un enfant, ça n'est pas un vase qu'on remplit, mais un feu qu'on allume".... Et rien que cette citation, qui est tellement merveilleuse, j'ai l'intention d'en faire un calligramme, je vais persister à essayer de le lire.
 
Peut être, après tout, que c'est lui qui va parvenir à m'apprivoiser, moi.... En fait, je ne souhaite que cela.

 


salpiglossis | Le Mercredi 22/12/2010 à 19:11 | [^] | Répondre

Re:

Si tu avais connu mon style de l'époque, tu comprendrais que ce prof m'ait donné le conseil de ne pas écrire comme je parle !!!!!!

Montaigne, rien que le nom me donne l'envie d'éviter de le lire. Je ne sais pas pourquoi. Par contre, j'ai lu Balzac et, malgré les trop longues descriptions, j'ai aimé l'émotion qui se dégage de ses récits. J'ai lu Zola. J'ai trouvé un peu lugubre. C'est pas le mec qui devait se marrer tous les jours. Balzac non plus mais en moins...Je sais pas tiens, c'est comme ça !

J'avais (bon, je t'en parle après) une amie qui était passionnée de littérature. Après avoir lu un livre, elle m'en parlait. Elle avait lu Les liaisons dangereuses (Moi aussi, je peux donc dire que c'est pas mal), Le rouge et le noir, La princesse de Clèves...Tous ces trucs un peu vieillots qui ne m'attiraient pas. Et malgré sa passion pour ces lectures et mon amour pour elle, je n'ai jamais trop eu envie de m'intéresser, sauf exceptions, à la littérature. Quant aux vins, je n'ai pas non plus l'intention de me perfectionner, je ne bois pas une goutte d'alcool.

Alors, comme tu veux que je sois bavarde, tant pis pour toi, je vais te raconter "Ma" soeur. Vers l'âge de 16 ans, j'ai sympathisé avec la copine de ma cousine, lors de mes vacances chez mes grands-parents. Elle était comme moi, pensait comme moi, ressentais les choses comme moi. Avec elle, je me sentais normale. Très vite, on est devenues inséparables (tout en vivant à 300 km l'une de l'autre et n'ayant ni elle ni moi le téléphone). Mais quand j'étais en vacances (tout le temps en période de vacances en fait) chez mes grands-parents (ceux qui m'ont élevée plus jeune), je passais presque tout mon temps avec cette amie. Puis on s'est "rendues compte" qu'on était comme des soeurs, des soeurs jumelles. Moi qui avait toujours eu le sentiment d'être anormale et inadaptée, j'ai revécu grâce à cette amie, cette soeur.

On habite maintenant à 750 km l'une de l'autre. Alors, la distance et ses nombreuses dépressions nous ont séparées. Ca a été la grande déception de ma vie. On est restées presque douze ans sans nouvelles. Et un jour, ma cousine s'est inscrite sur un site et m'a envoyé un petit mot. Elle m'a appris qu'elle avait eu des nouvelles d'elle (dont elle n'est plus l'amie depuis bien longtemps). Elle m'a appris qu'elle était maman. Ca m'a fait un choc terrible de savoir que ma soeur avait eu un enfant sans me le dire. Contente pour elle aussi. Alors, ça m'a décidée à lui écrire par l'intermédiaire de sa mère. Deux mois après, elle m'a répondu (octobre 2009). On communique très peu parce qu'elle est devenue très sauvage, très renfermée et très surbookée aussi entre son boulot et son petit garçon hyperactif (Il va avoir 2 ans dans 4 jours). Mais je suis heureuse de l'avoir retrouvée. Quand j'ai reçu son mail l'année dernière, ça m'a fait un super choc, un peu comme si j'avais appris le décès d'un être cher, mais dans le sens inverse. Je pense, sans avoir ni elle ni moi aucune tendance homosexuelle, que c'est mon âme soeur.



 


Claire | Le Mercredi 22/12/2010 à 19:46 | [^] | Répondre

Re:

salpiglossis  Et bien, c'est genial, ça... Moi aussi, j'ai ma meilleure amie, qui est réapparue, il y a quelques mois, après plus de 10ans de silence. Elle est un peu sauvage, aussi (n'est ce pas, Mariane), je dis ça, car je sais qu'elle vient me lire...
 
  Et c'est un peu comme une renaissance.... Mais les histoires d'amitié sont aussi fortes, et aussi bouleversantes que les histoires d'amour, n'est ce pas. Pour moi, c'est vraiment une évidence...

 


salpiglossis | Le Mercredi 22/12/2010 à 20:36 | [^] | Répondre

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