salpiglossis - Et si on parlait de la rentrée des classes ?

Et si on parlait de la rentrée des classes ?

J'ai toujours une attention émue, moi, à cette période de l'année. Bien sûr, je ne suis plus concernée, quasiment, vu que Charlotte, elle, assume seule, n'étant plus à la maison, et faisant de plus sa rentrée plus tard.

Mots-clés : nos chers petits

Pour commencer, un "joulides seins".

Enfin, oui, je disais que quand même, j'y pense... Quand je serai mamy, je me ferai de nouveau du souci, pour mon ou mes petits enfants. Il y a quelques jours, je repensais à un sentiment que j'avais éprouvé, un jour, quand Clémentine, en seconde année de maternelle, avait pris le car scolaire, pour se rendre à un voyage , dans un parc d'attraction. C'était incroyable. Jamais je n'avais vu ma fille aussi petite. C'est simple, elle n'était pas petite, devant le cul du car, elle n'était ni plus ni moins qu'un microbe, alor qu'à la maison, c'était "la grande". Du coup, ça m'avait complètement bouleversée, et j'étais repartie à la maison, ensuite, complètement en larmes, tellement elle m'avait semblée vulnérable.

Enfin, voilà. Ce qui amène le raisonnement qui suit, d'une banalité parfaitement déconcernante, et inéluctable, comment se fait il, enfin, que le temps passe si vite, quand on élève nos enfants ?... Pourquoi hier encore, elles étaient dans leurs couches culotte, et à présent, ce sont de grandes souris, qui bientôt vont nous apprendre à faire les gosses ? Que s'est il passé entre deux ? Et je dis ça alors que j'ai eu, en théorie, moi, plus de temps avec elles, vu que j'étais à la maison. Mais j'imagine facilement la frustration d'une maman qui a travaillé, et assuré en même temps. Ce doit être acceptable, quand on a exercé un métier que l'on aime, mais quand ça n'est pas cas, ce doit vraiment être difficile à accepter.

enfin, voilà. pour faire un clin d'oeil à Geluck, pour son dessin, il a pas vu mon calligramme, lui.

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