Mots-clés : Restos du coeur 2012.
Oui, je sais, à première vue, comme ça, je reconnais que la formule thérapeutique, elle, peut sembler non seulement parfaitement saugrenue, mais aussi, assez surréaliste....
Ha, avant celà, il faut tout de même remette à César, ce qui appartient à César....
Je veux parler du sketch de Coluche.
ET bien, écoutez, moi, ça n'est pas ma faute, je suis là, ici, en Normande, toujours aussi pauvre et fauchée. J'ai à ma droite, là, le radiateur électrique, qui en théorie, est sensé me tenir chaud, quand il n'est pas occupé, la moitié du temps, à recharger la batterie de ma tablette (enfin, je parle de la prise électrique).
Et pour une raison que j'ignore complètement, et bien, j'ai froid, tout le temps, à ce bras....
Alors, hier soir, j'ai dit à Thomas, en rigolant, ceci:
Et bien écoute, puisque l'on compte sur moi, pour remplacer Coluche, et bien, ce doit être lui, ou son âme, qui doit m'interpeller, et voilà, du coup, j'ai pensé à ça....
Mais quand même, on va se regarder le sketch...
www.youtube.com/watch
Loin de moi, l'idée de vouloir disséquer, ainsi, un sketch aussi merveilleux, qui aurait tendance à me rappeler la dissection, des grenouilles de bébitiers, en cours de science naturelle......
J'imagine Coluche, allongé sur la table, et moi, avec des pincettes, et le bistouri,, ho non, vraiment. comme il disait lui même "ho, non, c'est "dégueuleaaaaase".
Mais quand même force est de constater, que côté militantisme, pour les même valeurs que non défendons, Coluche était un visionnaire, absolument merveilleux....
Et que deja, à son époque, et bien avant, les industriels, à chaque fois qu'ils avaient la possibilité, de supprimer certains postes d'ouvriers dans les usines, pour y mettre un robot, ou une machine, ils n'avaient absolument aucun scrupule, à passer à l'acte....
Il semblerait que ce soit un énorme problème, dont j'espère, les industriels d'aujourd'hui, ont pris conscience.... Mais de là, à considérer, que ça soit le cas, au point, de voir des embauches concrètement, de façon suffisamment substantielles, ce serait faire preuve d'un optimisme un peu déplacé.
Quoi qu'il en soit, je perçois très bien, le côté délicieusement provocateur de Coluche, vis à vis des vieux, par ce sketch, qui ont été élevés, selon, le principe qui portait le travail, au dessus, des autres valeurs....
Que les choses soient bien claires.
Loin de moi, l'idée de vouloir dénigrer cette valeur là. Je trouve simplement déplacé, de faire croire aux gens, que seul le travail, soit source d'épanouissement personnel,et surtout de survie, alors que d'une part, nous connaissons tous, des gens autour de nous, qui ont bossé comme des malades, toute leur vie, et qui ne récolteront jamais le fruit de ce dernier, et à l'inverse, des gens qui occupent des postes à responsabilité, qui gagnent de très gros salaires, et dont la despcription de leur tâche, journalière, serait à elle seule, une matière première idéale, pour en faire une apologie de l'absurde, du surréalisme, et de incompréhensible....
Alors, mettre en valeur le travail, OK, je suis parfaitement d'accord.... Mais de grâce. Qu'on arrête un peu de nous emmerder, nous, les Pauvres, avec des valeurs qui ne veulent pas de nous, ça serait assez bien, il me semble.
Et pour en revenir à Coluche, en regardant à nouveau, ce sketch, tout à l'heure, je vois qu'il parle d'autres pays d'Europe, ce qui me fait donc dire qu'il était indigné, bien avant nous... VISIONNAIRE... Je vous dis.
Mais une fois passé, cette analyse sur la symbolique du bras droit, en ce qui concerne la valeur "travail", je tiens quand même à rappeler, que le bras, est la partie du corps qu'on lève pour porter son poing levé.... Pour lever la main, pour pouvoir prendre la parole, mais aussi, et surtout, à mes yeux, celle avec laquelle on offre... on s'offre, on donne la main, que ce soit entre adultes, qui s'aiment, ou entre parents, ou adultes, et enfants, et ceux que l'on ouvre pour embrasser....
Et oui, Coluche n'avait pas mis ça, dans son sketch, mais son esprit est si présent en mon Cœur, comme dans le cœur de chacun, qu'il nous inspire, tous, chaque jour de notre vie.
Mots-clés : Restos du coeur 2012.
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