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Ce matin, en Normandie.

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 De passage au garage, pour  un simple bruit, que je suspectais, je venais d'avoir une bonne nouvelle, c'était fdans mes rêves, tout était normal.

 Une paire de pneus à changer, et le contrôle thecnique, et me voilà repartie.

 Je m'engageais donc, sur cette route si familière, que j'ai l'habitude d'emprunter, quand j'allais aux enregistrements de certaines émissions,  pour aller et venir de la gare d'Yvetôt, pour rejoindre mon domicile, à Ste Austreberthe.

 Puis arrivée à la hauteur de la gare de Motteville, alors que d'habitude, j'y passais, sans prêter plus attention, je vis un grand chemin, avec beaucoup de charme, ombragé par des arbres, d'une vingtaine d'années, sur ma droite.

 Il s'agit de l'entrée de chambres d'hôtes, et salle de reception, appelé "l'Orangerie".

 Je connais fort bien cet endroit là, enfin, "de loin", car situé où il était mon ancien mari et moi, avions beaucoup fantasmé, sur ce bâtiment, vestige d'une ancienne dependance, du chateau de Motteville.

  Ce dernier, fort imposant, avait été comme tous les châteaux, partout en France, occupé par les allemands, et certains vieux, il y a une trentaine d'années, en parlaient encore.

 Malheureusement, apr-s guerre, il fût fortement negligé et non entre tenu. les munuments  "hiteriques", interdisait à quiconque, d'y faire ds travaux, sans respecter le style, mais ne pouvaien teux, en assurer la maintenance à defaut de le restaurer.

 S'en suivit donc, au fil des decennies, un abandon progressif, qui le fit tomber en ruine, fort rapidement.

 Dans les année 50, il fût questions que l'Académie y fit u collège, mais comme ça blessait la susceptibilité du maire de Yerville, (qui y aurait perdu son titre de chef lieu de canton),  le projet fût abandonné, au détriment, des dernières chances, de voir ainsi, le château, retrouver de sa superbe.

Il y a trente ans, le château était encore debout, le terrain de foot était juste devant, et les fooballeurs, si ma mémoire est bonne y entraient, juste pour se changer, parce qu'il n'y avait pas de vestiaire.

 A cette époque, j'étais suffisemment amoureuse de lui, pour venir l'encourager....  Mais je suppose qu'aujourd'hui, encore, les jeunes filles amoureuses viennent encourager, leurs amoureux.. Sans avoir pleinement  conscience, que lui, n'aurait en aucune manière, probablement, la delicatesse, d'en faire autant, pour elle....

 Ensuite, au fur et à mesure, que les années pasaient, le propriétaire de l'herbage,  s'est rempli littéralement, les poches, en vendant au fur et à mesure, toutes les plus belles pierres, qui ont servi d'éléments, pour les particuliers de la région. En somme, "un sacré filon".

 Ce matin donc, la vision du chemin, sous les ombrages, et les plages de soleil, au travers des branches, me poussa à y entrer.

 J'avais trouvé un pretexte c'était bon......
 Je roulais lentement, et écoutais crisser les pneus, sur le gravier.
 Sur ma gauche, un vieux monsieur, travaillait au jardin.
 Un petite haie, au bord du chemin, sur lequel je roulais, en délimitait les contours.
 
Les légumes, sages comme des images, était planté de façon perpendiculaire au chemin... Les haricots, devait faire aux alentours de 40 cm, deja et prêts à fleurir.
 Les pommes de terre, un peu plus loin, avaient une floraison violette, et ne tarderaient pas demander l'arrachage.
 Puis au coin, un vieux monsieur, tablier bleu foncé, était en train de bosser...
 Je lui dis bonjour, et entamais la conversation.
 C'était le propriétaire....
Ce que j'aia adoré, c'est que comme nous, enfin, mon mari et moi, il avait aménagé, un carré, de 3 mx 3 m, environ,  où il avait recupéré quelques être pourpres prelevés sous un adulte prioche de la dite dependance, comme là encore, nous l'vions fait....
 A cette époque, je me souviens moi, en avoir ainsi recupéré, et les avoir offert, à certaines de mes copines, ici en pays de caux... ils doivent bien faire environ 20 cm de dimètre à present, m^me si la copine en question, ellea divorxcé, comme je m'en vais le faire... mais les sentiment passent, et les Arbres restent.

 Ils avaient acheté le fameux bâtiment, et avait réalisé, ce que mon mari, et moi, n'avions à l'époque, pas pu faire(manque d'ambition, et de motivation, aussi), c'était donc, trois ans, environ, après que nous nous soyons mariés.
 Le syle du bâtiment, et du château, est conforme, à ce qui se faisait, en Normndie, le voici.

 Nous avons ainsi refait le monde, pendant une bonne heure..... Il m'a fait visiter l'ensemble de l'extérieur. Ils profitent de sa vue, avec deux énormes cèdres du liban, qui trônent, devant l'orangerie.
Côté jardin, ormis le potager, il n'y a que des topières.

 Puis j'ai posé quelques questions sur son parcours personnel, et il m'apprit qu'il était donc avant la retraite.... Cordonnier !




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Version imprimable | Actualités | Le Jeudi 05/07/2012 | 1 commentaire


Commentaires

Re:

salpiglossis I read "getting borring", can you explain, please ? I don't understand.

 


salpiglossis | Le Lundi 09/07/2012 à 23:25 | [^] | Répondre

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