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A mon paratonnerre.

Decidement, c'est une seconde nature.....

 Enfin, voilà. Après lui avoir écrit,de nouveau, voilà, cet aprè midi, que je me suis permise, aussi, d'interpeller "télérama"...

 Non, non, je ne vais pas jouer les indicrètes, et vous faire un copié collé du message que je leur ai envoyé... J'ai simplement parlé avec mon coeur. Coeur de Diane de Poitier, éffectivement, ce qui peut être, sait on jamais, retiendra leur attention.... J'ai trouvé assez jubilatoire, d'utiliser l'expression "venir manger dans la mains", comme disait mon papa.... (qui n'a que deux pieds, je vous le rappelle.)


 Et oui, mon papa, quand il racontait ses "prouesse" de drague, face aux jeunes filles, alors que pour de vrai, il n'était absolument pas coureur de jupons, utlisait cette expression là, et à chaque fois, nous décrivant celà, nous étions tous "morts de rire". Mais je doute, cependant une fois lu mon message, (si d'aventure, il le lisent) que le journaliste en question lui, ait ce sens de l'humour. Et bien c'est très bien comme ça... Ca lui fera les pieds. Et bien oui ! "deux pieds".

 
Demain, je refais la même chose, mais avec un autre journal.

Version imprimable | Actualités | Le Mercredi 09/03/2011 | 3 commentaires


Commentaires

Poitiers poivrier

Diane de Poitiers ?

A vous lire, cela vous ressemble peu.


Diane de poitiers était calculatrice, elle influait sur les relations autant qu'unfluençait ses proches pour parvenir à ses fins.


Pourquoi écrire à Télérama ? Pourquoi vouloir propulser quelqu'un qui l'est déjà (propulsé) ?


 


Mel | Le Jeudi 10/03/2011 à 01:10 | [^] | Répondre

Re: Poitiers poivrier

salpiglossis Tiens tiens, c'est un message qui m'interpelle, ça...et qui ne doit pas se trouver là par hasard.

 Je suppose que quand Thomas a choisi Diane de Poitier, il ne l'a pas fait par hasard. Il a choisi une femme belle (plus que moi, je dois l'avouer), moins ronde, surtout... Mais il est bien evident que c'est simplement pour le carisme dont elle a  fait preuve, et rien de plus.  Comme j'avais dit à Thomas, après la sortie du disque, "et bien heureusement que tu n'as pas chosi "Catheriene de Medicis", parce que  avec le côté "zigouilleuse de protestants", j'étais mal barrée.

 Pour ce qui est d'être comparée à Diane de poitier, je dois bien avouer que son coté "calculatrice", c'est vraiment pas un truc qui me branche. D'ailleurs, je ne suis jamais allée fouiller dans la véritable réputation de cette dame là... Mais enfin "calculatrice", en ce qui me concerne, non,vraiment, je puis vraiment être parfaitement rassurée, à ce sujet, ça ne risque pas de m'arriver... Tout au plus, il est probable que je vais devoir apprendre à tirer certaines ficelles, ficelles auxquelles je n'ai pas encorez accés, puisque je suis encore dans mon bocal, et ce sera toujours pour la "bonne cause"... Causes qui seront dignes d'être soutenues, fort "humanistes", même si ça peut paraître hyper pompeux que d'avouer de telle valeurs. Mais c'est comme ça...

 Enfin, moi, ce qui m'amuse, dans le fait que je sois "Diane de poitier", c'est que simplement, quand j'entre quelque part, et que je dis que je suis la muse de Thomas, et que je suis "Diane de poitier", je leur dit "oui oui, j'ai garé ma crinoline sur le trottoir", et ça fait rigoler la galerie. En fait, c'est vraiment ça qui me fait rigoler.... Le coup de la crinoline, c'est vraiment marrant, et je fais toujours un tabac avec ça !

 sinon.


Pourquoi écrire à Télérama ? Pourquoi vouloir propulser quelqu'un qui l'est déjà (propulsé) ?

 
Heu.
à vrai dire, je crois que vouloir être propulsée, dans ma peinture, il me semble que c'est complèmentaire aux projets qui sont les miens. Pour l'instant moi, j'ai postulé, depuis pas mal de temps, déjà. Et je n'ai que mes pinceaux, moi, pour exister socialement.... Quand je rempli un papier de sécu, ou autre, et qu'on me demande mon metier, je mets "artiste peintre", parce que  il faut bien que j'existe, moi socialement... c'est plus valorisant que de mettre "chômeur". alors, du coup je mets les deux. C'est bien gentil, d'avoir à mon intention des projets professionels, encore faut il passer à l'acte, pour que moi, j'accède socialement à ce poste là... Une fois fait, il est même tout à fait envisageable que je laisse tomber la peinture, "professionnellement", si je sais que je peux "juridiquement" peindre dans l'objectif des pochettes de disque.

 Par exemple, moi, je connais plein de gens qui sont  artistes peintres amateurs, et bien il y a plein de trucs auxquels ils ne peuvent pas participer, par ce qu'ils ne sont pas passés pro. Dans les galeries, par exemple, c'est interdit.
 Sinon, si la question est "qu'est ce qui a plus d'importance" est ce le fait d'être artiste peintre, ou bien les projets qu'on a à ton sujet, et bien je réponds sans aucune hésitation ces fameux projets bien sûr...

 J'explique. ma psy, elle, suit tout ça de très près, bien sûr. Mais à ses yeux, des projets ce sont des projets, rien de plus. Et ces projets là, moi, ça n'est pas moi qui en detient les clés.... Donc, psychologiquement, il est necessaire que je me concentre sur mes expos...voilà. C'est aussi simple que ça...
 
  D'ailleurs, là, je vais m'inscrire à de nouvelles expos, d'une part, j'aurai 30 fois plus de visiteurs qu'à Paris, mais en plus, moi, ça va m'occuper l'esprit, en attendant.

Sinon, pour télérama, je n'en fais pas une obsession. Mais quand je n'ai aucune visite, hier, à la galerie, c'est l'occasion de passer le temps... Temps qui leur manque visiblement, à eux, pour lire leurs messages.

 C'est bon , j'ai bien rendu ma copie ?

 Sinon, le grand escogriffe me manque.

 


salpiglossis | Le Jeudi 10/03/2011 à 07:21 | [^] | Répondre

Re: Poitiers poivrier

salpiglossis  Je cite , dans la chanson "je m'appelle Françoise". Rosemary dit "je rêve d'être dans le dictionnaire"; soit, si la question est sous quel statut ? La réponse est "plutôt pour les projets professionnels que l'on envisage pour moi".

 Car avoir mon nom dans le dictionnaire en temps qu'artiste peintre, pour moi, serait carrement insuffisant. Je veux dire que je serai très malheureuse, car complètement boiteuse... Je suis chanson, je suis réparée, en chanson, je respire chanson, j'expire chanson. Tout mon psychisme, lui, est constitué de chansons, et pour cause. Alors, oui, bien sûr, c'est bien plus important, à mes yeux, que la peinture.

 Puis de toute façon, je continuerai de peindre, quand même, et faire de simple petites expos de campagne, dans mon pays de Caux, en fait, est tout à fait suffisant à mes yeux, pour me satisfaire... Car mine de rien, cette expo à Paris, m'a bien ouvert les yeux, d'une certaine façon. Car le regard d'un cul terreux du pays de Caux, en pleine campagne (dont je fais partie, je vous le rappelle), vaut bien le regard d'un parisien.... Et moi, tant que je vois des etincelles, comme dit Thomas, dans les yeux de celui qui regarde, c'est bien là l'essentiel...et franchement, la galerie vide de chez vide, 90% du temps d'exposition, c'est vraiment assez terrible. On a un sentiment  d'inutilité assez absolu. Et ça laisse vraiment rêveur sur la necessité de reconduire l'expérience.

 Mais enfin, ce sera l'occasion d'un bilan plus approfondi, les premiers jours de la semaine prochaine, quand j'aurai récupéré mes tableaux, et que cet episode sera clos....

 


salpiglossis | Le Jeudi 10/03/2011 à 08:52 | [^] | Répondre

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